D’Ibn Khaldûn à Frantz Fanon ; d’une émancipation acoloniale à une émancipation postcoloniale
Article
Version publiée / Version of Record
Fichiers
Date de publication
Autrices et auteurs
Identifiant ORCID de l’auteur
Contributrices et contributeurs
Direction de recherche
Publié dans
Les Cahiers d'Ithaque
Date de la Conférence
Lieu de la Conférence
Éditeur
Société Philosophique Ithaque
Cycle d'études
Programme
Organisme subventionnaire
Résumé
Résumé
La notion d’émancipation peut prendre différentes formes en fonction du cadre sémantique qui sous-tend la réflexion. Comment penser l’émancipation hors du cadre d’une pensée coloniale eurocentrée ? Pour y arriver, nous nous appuierons sur deux auteurs : Ibn Khaldûn et Frantz Fanon. Ceci nous permettra, d’une part, de rompre avec une certaine forme d’injustice épistémique, et d’autre part, de bâtir une conception renouvelée de l’idée d’émancipation. Nous centrerons nos analyses sur la place qui est faite à la structure familiale comme modèle pour l’action politique. Pour Platon, la cité c’est l’homme en grand. Nous ajouterions qu’entre la cité et l’homme il y a la famille.
Table des matières
Notes
Notes
Autre version linguistique
Ensemble de données lié
Licence
Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada.
Approbation
Évaluation
Complété par
Référencé par
Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Sauf si le document est diffusé sous une licence Creative Commons, il ne peut être utilisé que dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale comme le prévoit la Loi (i.e. à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu). Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.