Comportement linguistique des immigrants allophones et caractéristiques du quartier de résidence, région métropolitaine de recensement de Montréal, 2006


Thèse ou mémoire / Thesis or Dissertation

Date de publication

Autrices et auteurs

Identifiant ORCID de l’auteur

Contributrices et contributeurs

Publié dans

Date de la Conférence

Lieu de la Conférence

Éditeur

Cycle d'études

Maîtrise / Master's

Programme

Affiliation

Mots-clés

  • Immigrants
  • Langue
  • French
  • Neighborhood
  • Environment
  • Montreal
  • Quebec
  • Demography
  • Census
  • Immigrants
  • Français
  • Quartier
  • Environnement
  • Montréal
  • Québec
  • Démographie
  • Recensement
  • Language

Organisme subventionnaire

Résumé

Résumé

Les immigrants allophones qui s’établissent dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal sont vraisemblablement confrontés à la concurrence qui y existe entre le français et l’anglais. À l’aide de données agrégées du recensement canadien de 2006, nous explorons le rôle que pourrait jouer l’environnement linguistique résidentiel dans l’adoption de deux comportements linguistiques; le transfert linguistique vers le français ou l’anglais et la connaissance des langues officielles chez ceux n’ayant pas effectué de transfert, tout en tenant compte de leurs caractéristiques individuelles. Des liens initiaux existent entre la composition linguistique des 56 quartiers de la RMR et les comportements linguistiques des immigrants allophones. De plus, des caractéristiques individuelles similaires mènent à des orientations linguistiques similaires. Sans séparer ces deux effets, des régressions linéaires nous permettent de croire que la connaissance de l’anglais et/ou du français n’est pas déterminée par la composition linguistique du quartier, alors que cette dernière ne peut être écartée lorsque nous analysons la langue d’usage à la maison (transferts).
Immigrants with a mother tongue other than French or English are likely to face the existing concurrence between these two languages when settling down in the Montreal Census Metropolitan Area (CMA). Using agregated data from the 2006 Canadian Census, the potential role of residential linguistic environment on two measures of immigrants` language behavior is explored : language shift at home (from a third language to the use of French or English) and French or English proficiency (of those who did not shift), along with the consideration of their individual caracteristics. Initial links are observed between language composition of the 56 neighborhoods of the CMA and language behavior of the immigrants. Moreover, similar individual caracteristics seem to lead to similar language behaviors. Linear regressions cannot distinguish both effects, but tend to show that language proficiency in French and/or English is not determined by neighborhood caracteristics. However, evidence suggests that the potential significant role of the language composition of the neighborhood on the language shift at home cannot be overlooked.

Table des matières

Notes

Notes

Autre version linguistique

Ensemble de données lié

Licence

Approbation

Évaluation

Complété par

Référencé par

Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Sauf si le document est diffusé sous une licence Creative Commons, il ne peut être utilisé que dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale comme le prévoit la Loi (i.e. à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu). Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.