André Belleau et le cinéma
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Association Sens Public
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Mots-clés
- Belleau, André
- Cinéma
- National Film Board of Canada
- Journal intime
- Office national du film du Canada
- Québec
- Revue Liberté
- Université du Québec à Montréal
- Cinema
- Diary
- Liberté (journal)
Organisme subventionnaire
Résumé
Résumé
Dans le paysage intellectuel québécois, le parcours professionnel d’André Belleau (1930-1986) peut avoir de quoi étonner. Avant de devenir professeur au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal en 1969 et d’être reconnu comme essayiste durant les années 1980, Belleau a été fonctionnaire pour le gouvernement du Canada. Son passage à l’Office national du film, de 1958 à 1967, mérite qu’on s’y attache. Il s’inscrit dans une réflexion sur le cinéma qui a occupé Belleau tout au long de sa vie. Qu’il agisse en cinéphile, en critique (notamment à la revue Liberté) ou en administrateur culturel, Belleau a longtemps réfléchi au cinéma comme forme d’art, mais aussi comme activité collective, parfois dans des documents restés inédits. Ce type de sociabilité est essentiel pour comprendre le parcours de Belleau.
In Quebec’s intellectual landscape, André Belleau’s career path is unparalleled. Before becoming a professor in the Département d’études littéraires at the Université du Québec à Montréal in 1969, and gaining recognition as an essayist in the 1980s, Belleau (1930-1986) worked as a civil servant for the Canadian government. His stint at the National Film Board, from 1958 to 1967, deserves special mention. It is part of a larger reflection on cinema that has occupied Belleau throughout his life. Whether as a cinephile, a critic (notably at the literaty journal Liberté) or a cultural administrator, Belleau long reflected on cinema as an art form, but also as a collective activity, sometimes in unpublished documents. This type of sociability is essential to understanding Belleau’s career.
In Quebec’s intellectual landscape, André Belleau’s career path is unparalleled. Before becoming a professor in the Département d’études littéraires at the Université du Québec à Montréal in 1969, and gaining recognition as an essayist in the 1980s, Belleau (1930-1986) worked as a civil servant for the Canadian government. His stint at the National Film Board, from 1958 to 1967, deserves special mention. It is part of a larger reflection on cinema that has occupied Belleau throughout his life. Whether as a cinephile, a critic (notably at the literaty journal Liberté) or a cultural administrator, Belleau long reflected on cinema as an art form, but also as a collective activity, sometimes in unpublished documents. This type of sociability is essential to understanding Belleau’s career.
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