Les pratiques d’écriture et de sociabilité de Louise d’Épinay à la lumière de ses contributions à la Correspondance littéraire et de ses lettres à Ferdinando Galiani (1755-1783)


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Mots-clés

  • Littérature française du XVIIIe siècle
  • Louise d’Épinay
  • Social representation
  • Women writers
  • Pratiques de sociabilité
  • Représentation
  • Imaginaire social
  • Femmes de lettres
  • Mondanité
  • Eighteenth-century French literature
  • Louise d’Épinay
  • Social life and customs

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Résumé

Les collaborations de Louise d’Épinay à la Correspondance littéraire (1755-1783) et sa correspondance avec Ferdinando Galiani (1769-1782) constituent deux corpus complémentaires pour comprendre les pratiques de sociabilité de cette auteure et pour mettre au jour leur interaction avec ses pratiques d’écriture. Ses critiques, ses dialogues et ses lettres assurent la cooptation d’une élite par le prolongement qu’ils offrent aux mécanismes de distinction propres à la société de cour et par leur circulation en marge de la sphère mondaine. L’analyse des représentations de soi et du groupe dans ces ensembles permet d’approcher l’imaginaire social qui leur donne sens et qui explique la diffusion restreinte de ces textes. Cette étude, qui s’appuie sur des concepts issus de la sociologie, offre la possibilité d’un décloisonnement de la critique de la production de Louise d’Épinay tout en proposant une nouvelle approche de celle des femmes associées aux salons des Lumières.


Louise d’Épinay’s contributions to the Correspondance littéraire (1755-1783) and her correspondence with Ferdinando Galiani (1769-1782) constitute two complementary corpora which allow us to understand this author’s practices of sociability and to reveal their interaction with her writing. Her critical work, her dialogues and her letters contribute to the co-opting of a social elite, via their circulation in the margins of good society and their extension of court society’s mechanisms of distinction. The analysis of self-representations and group-representations in these writings allow us to better understand the social representations that give them meaning and that explain their restricted circulation. This thesis, based on sociological concepts, proposes a renewal of Louise d’Épinay’s studies, and those of the women associated with Enlightenment salons.

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Thèse réalisée en cotutelle avec l'Université Paris IV-Sorbonne.

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