La force de la culture organisationnelle et son influence sur l’épuisement émotionnel


Thèse ou mémoire / Thesis or Dissertation

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Mots-clés

  • Culture organisationnelle
  • Force de la culture
  • Intensité de la culture
  • Épuisement émotionnel
  • Organizational culture
  • Emotional exhaustion
  • Culture strength
  • Intensity of culture

Organisme subventionnaire

Résumé

This master’s thesis contributes to the literature of the ethnology of organizations. More accurately, it explains the relationship between the similarity of organizational values (consensus) and emotional exhaustion. We will use the group culture dimension, as recommended by Marchand, Haines and Dextras-Gauthier (2013). The data result from the Salveo study to locate the 2108 respondents according to their workplace affiliation, by the number of 63, therefore allowing us to distinguish two levels from the analysis. Chatman, Denison, Kuenzi and Schneider explain that the strength of organizational culture is a combined product between the variation of values shared by organization members and the intensity by which they hold these values (2012). The possibility of a moderating effect of the group culture consensus on the relationship between its intensity and emotional exhaustion would then be expected, has been tested and partially accepted. Indeed, we conclude that consensus and intensity do not, in absolute terms, explain all the variation in emotional exhaustion and that consensus has its most pronounced effect on the relationship between the intensity of culture and the emotional exhaustion from a certain level of intensity. Then we categorized the different organizations according to the strength of their organizational culture and tried to understand which aspect of the force was the most decisive.


Ce mémoire s’inscrit dans la littérature de l’ethnologie des organisations. Plus exactement, elle explique les liens entre le consensus de la culture organisationnelle et d’épuisement émotionnel. Nous utiliserons la dimension culture groupale, tel que recommandé par Marchand, Haines et Dextras-Gauthier (2013). Les données proviennent de l’étude Salveo afin de situer les 2108 répondants selon leur appartenance à un milieu de travail, au nombre de 63, lesquels nous permettront de distinguer deux niveaux à l’analyse. Chatman, Denison, Kuenzi et Schneider expliquent que le consensus de la culture organisationnelle est le produit combiné de la variation ou du consensus au niveau des valeurs partagées par les membres d’une organisation, et de l’intensité avec laquelle les membres de cette organisation reconnaissent que ces valeurs les représentent (2012). La possibilité d’un effet modérateur du consensus de la culture groupale sur la relation entre son intensité et l’épuisement émotionnel serait alors à prévoir, a été testé et partiellement accepté. En effet, nous concluons que le consensus et l’intensité n’expliquent dans l’absolu pas toute la variation de l’épuisement émotionnel et que le consensus a son effet le plus marqué sur la relation entre l’intensité de la culture et l’épuisement émotionnel qu’à partir d’un certain niveau d’intensité. Ensuite, nous avons classé les différentes organisations selon la force de leur culture organisationnelle et avons tenté de comprendre quel aspect de la force était le plus déterminant.

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