Expanding e-Mental Health Services : using a person-based approach in developing and testing of iCanChange, a Novel App-based psychological intervention for cannabis use disorder in young adults with early psychosis


Thèse ou mémoire / Thesis or Dissertation

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Doctorat / Doctoral

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Mots-clés

  • Psychosis
  • Cannabis use disorder
  • Psychose
  • Trouble lié à la consommation de cannabis
  • Sondage électronique
  • Essai contrôlé randomisé
  • Santé numérique
  • Intervention
  • Survey
  • Qualitative
  • Randomized controlled trial
  • Best-worst-scaling
  • mHealth
  • Digital health
  • Smartphone

Organisme subventionnaire

Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC)
Fonds de Recherche du Québec - Santé (FRQS)

Résumé

Résumé

Les troubles psychotiques tels que la schizophrénie sont le plus souvent diagnostiqués chez les jeunes adultes et ont un impact majeur sur la vie des individus et sur la société. La consommation fréquente de cannabis augmente le risque de développer un trouble lié à l'usage du cannabis (TUC), très répandu chez les personnes souffrant d'un premier épisode psychotique (PEP). La réduction de la consommation de cannabis chez ces personnes représente une cible d'intervention importante, car une consommation moindre de cannabis est associée à un risque plus faible de rechute de la psychose. À ce jour, l'efficacité des interventions pharmacologiques pour la consommation de cannabis manque de preuves solides et les interventions psychologiques en face à face, qui comprennent la thérapie cognitivo-comportementale et l'entretien motivationnel (EM), sont le pilier du traitement de la consommation de cannabis dans les services d'intervention précoce pour la psychose (SIP). Leur mise en œuvre est souvent sous-optimale en raison d'une multitude de facteurs, notamment la charge de travail élevée et la formation insuffisante du personnel, ainsi que le faible engagement des patients en raison d'un soutien social inadéquat, d'obstacles liés au transport et de coûts financiers. Les interventions psychologiques basées sur la technologie (IPBT) pour le TUC, telles que celles offertes en ligne via des ordinateurs ou des applications mobiles, pourraient contourner certains de ces obstacles et se sont révélées modérément efficaces pour réduire la fréquence de la consommation de cannabis dans des études portant sur des personnes ne souffrant pas de psychose. Toutefois, ces études ont révélé des taux d'attrition élevés et un faible engagement de l'utilisateur dans l'intervention, ce qui peut avoir un impact sérieux sur les résultats de la consommation de cannabis. Les recommandations pour le développement d'interventions comportementales offertes via des applications soulignent l'importance d'utiliser une approche centrée sur la personne, ce qui implique de mener des recherches qualitatives et quantitatives et d'adapter l'intervention aux préférences des utilisateurs. Les interventions psychologiques offertes via des applications pour le TUC qui intègrent les connaissances théoriques, adaptées aux besoins de traitement et aux expériences vécues par les personnes atteintes de psychose peuvent favoriser un engagement optimal dans l'intervention en augmentant la compétence, la relation à l’application et l'autonomie de l'utilisateur. La thèse comprend quatre études décrivant la recherche utilisant des méthodologies variées qui a été menée pour développer iCanChange (iCC), une nouvelle intervention psychologique basée sur une application pour le traitement de TUC chez les personnes atteintes de psychose, et le ReCap-iCC, un essai pilote contrôlé randomisé (ECR) de l'iCC dans cette population. L'étude 1 consiste en une revue systématique visant à évaluer l'efficacité des IPBT pour réduire la consommation de cannabis chez les personnes atteintes de psychose et comprendre les facteurs contribuant à la conception d'interventions efficaces pour le TUC dans cette population. Pour la revue initiale et sa mise à jour, nous avons examiné au total 20,615 références indexées dans six bases de données majeures jusqu'au 27 juillet 2023. Les résultats montrent que la recherche dans ce domaine n'en est qu'à ses débuts, puisque seuls 11 articles correspondant à 7 études empiriques distinctes ont été retenus pour la synthèse. Bien qu'aucune des études n'ait fait appel à des interventions psychologiques offertes par des applications mobiles, la revue indique que les interventions offertes via internet, l'ordinateur ou la réalité virtuelle qui incluent des interventions de thérapie cognitivo-comportementale (TCC), d'EM, de la psychoéducation ou de la thérapie par remédiation cognitive peuvent être efficaces pour réduire la consommation de cannabis chez les personnes souffrant de psychose. L'étude souligne l'importance d'explorer qualitativement les préférences des patients et de les intégrer dans les interventions afin d'améliorer les résultats sur la consommation de cannabis. L'étude 2 décrit la méthodologie et les résultats d'une étude qualitative descriptive visant à explorer et à comprendre les perspectives des patients et des cliniciens concernant les modalités d'intervention pour réduire la consommation de cannabis, le contenu et le format de l'intervention, et les opinions liées à la technologie. Dix personnes atteintes de PEP et de TUC ont participé à un groupe de discussion et dix cliniciens travaillant dans des SIP pour les psychoses ont participé à des entretiens semi-structurés. Nous avons utilisé une analyse thématique déductive-inductive pour fournir une synthèse intégrative des opinions des patients et des cliniciens. Il en est résulté un cadre de cinq facteurs principaux pertinents pour le développement d’IPBT pour le TUC. Ces facteurs sont les suivants : attitudes et croyances liées aux interventions psychologiques (par exemple, stade de changement comportemental), stratégies pour les interventions psychologiques (par exemple, EM, TCC), incitations (par exemple, gestion des contingences), intérêt général pour les IPBT (par exemple, interventions en face à face ou basées sur une application, rétroaction des cliniciens, lieu de participation), et recommandations pour adapter l’IPBT, y compris l'intensité de l'intervention, le format du contenu de l'intervention, les caractéristiques de l'application, et les méthodes de communication. Les résultats de cette phase exploratoire ont permis de développer l'iCC et le questionnaire utilisé dans l'étude 3. Dans l'étude 3, 104 personnes atteintes de PEP et de TUC ont répondu à un sondage en ligne dans six SIP pour la psychose dans la province de Québec, un en Alberta et un en Nouvelle-Écosse. Les principaux objectifs étaient d'évaluer les préférences en matière d'intensité de l'intervention, de l’autonomie dans l'exécution de l'intervention, de la rétroaction liée à la consommation de cannabis et des préférences en matière de technologie et de caractéristiques de l'application. Pour mesurer les préférences, nous avons utilisé la méthode du Case 2 Best-Worst-Scaling (BWS, 27 questions) et la méthode de classement des items (6 questions). Les analyses de régression conditionnelle multivariable des questions du BWS ont révélé : 1) des préférences plus élevées des patients pour une intervention d'intensité modérée basée sur une application qui comprend des modules d'une durée de 15 minutes (vs. 5 minutes, OR=1,19; IC: 1,03; 1,37) programmée une fois par semaine (vs. tous les jours, OR=2,06; IC: 1,79; 2,37) ; 2); l’utilisation autonome des interventions psychologiques pour le TUC reflété par des préférences plus faibles pour une intervention en personne par rapport à une IPBT (OR=0,86; IC: 0,75; 0,98) ; des préférences plus élevées pour participer à l'intervention en dehors de la clinique (vs. à la clinique, OR=1.24; IC: 1.08; 1.42) ; des préférences plus élevées pour recevoir de l'aide pour l'utilisation de l'application de la part du clinicien une fois par semaine (vs. chaque session, OR=1.16; IC: 1.01; 1. 33) ; et 3) des préférences plus marquées pour recevoir un une rétroaction sur sa consommation de cannabis à la fois de l'application et du clinicien (vs. application seule, OR=1,74; IC: 1,51; 2,00) et du clinicien une fois par semaine (vs. deux fois par semaine, OR=1,29 ; IC: 1,13; 1,48). Les modèles de régression de Luce pour les données de classement ont révélé des préférences plus élevées (c'est-à-dire la valeur de l'item, soit w) pour l'utilisation de smartphones (vs. ordinateur, w=1.65; IC: 1.14; 2.38), pour la communication avec les cliniciens par chat (vs. texte, w=1.47; IC: 1.03; 2.10), et pour avoir accès à un tableau de points de récompense (vs. la possibilité de personnaliser l'application, w=1.67; IC: 1.16; 2.40). Nous avons constaté des préférences moindres pour le texte écrit (w=0,57; IC: 0,41; 0,81) ou l'audio (w=0,61; IC: 0,43; 0,86) par rapport aux vidéos avec un personnage animé. Les résultats de la recherche préparatoire (études 1 à 3) ont conduit au développement de l'iCC et de l'essai pilote ECR ReCap-iCC en cours (étude 4). L'iCC est une application entièrement automatisée qui contient 2 sections et 3 modules de rappel. La première section comprend 10 modules de base qui sont complétés séquentiellement, avec une fréquence recommandée de 2 par semaine maximum, visant à préparer les utilisateurs à changer leurs comportements de consommation de cannabis et se terminant par le choix d'un objectif de modification de consommation de cannabis flexible qui peut être soit de réduire, soit d'arrêter la consommation de cannabis. La section 2, qui comprend 9 modules pouvant être complétés dans l'ordre choisi par l'utilisateur, a pour but d'enseigner et de renforcer les compétences qui peuvent l'aider à atteindre son objectif. Enfin, les 3 modules de rappel sont complétés à une fréquence d'un par mois et sont conçus pour soutenir le changement de comportement. Le protocole de l'étude fournit une description détaillée des activités incluses dans chaque module et des techniques de changement de comportement utilisées. Les participants sont répartis de manière aléatoire (ratio 1:1) entre le groupe d'intervention composé de l'iCC + SIP modifié (tous les services SIP sont offerts à l'exception des interventions psychologiques formelles concomitantes pour le traitement des TUC) et le groupe de contrôle composé de SIP. L'étude comprend une période d'intervention active de 12 semaines et une période de suivi de 3 mois. Les évaluations sont effectuées au départ, à 6 semaines, à 12 semaines (fin de l'intervention active et évaluation principale) et à 24 semaines, ce qui correspond à la fin du suivi. Les principaux objectifs consistent à évaluer les taux d'achèvement de l'intervention et de rétention dans l’essai clinique. D'autres objectifs comprennent une évaluation initiale de l'impact de iCC sur la quantité de cannabis consommée, la satisfaction des participants et l'utilisation de l'application. Des résultats exploratoires tels que les symptômes psychotiques, la motivation à modifier la consommation de cannabis et l'adoption de mesures de réduction des méfaits sont incorporés pour améliorer notre compréhension des avantages de la mise en œuvre de iCC dans les environnements cliniques. Les études présentées dans cette thèse illustrent le processus rigoureux et personnalisé en plusieurs phases du développement et de l'essai clinique initial d'une intervention psychologique basée sur une application mobile pour le traitement du TUC chez les personnes atteintes de psychose. Le projet de recherche doctorale est opportun, compte tenu de l'expansion rapide des interventions basées sur des applications mobiles dans le domaine de la santé mentale et du besoin de solutions efficaces et innovantes qui pourraient être ajoutées à la boîte à outils des interventions utilisées pour le traitement du TUC dans cette population.
Psychotic disorders such as schizophrenia are most frequently diagnosed in young adults and have a major impact on individuals’ lives and society. Frequent cannabis use increases the risk of developing cannabis use disorder (CUD) that is highly prevalent in individuals with first episode psychosis (FEP). Reducing cannabis use in these individuals represents an important intervention target because lower cannabis consumption has been associated with a lower risk of psychosis relapse. To date, the efficacy of pharmacological interventions for CUD lacks solid evidence and face-to-face psychological interventions that include cognitive behavioral therapy (CBT), and motivational interviewing (MI) are the mainstay of CUD treatment in early intervention services (EIS) for psychosis. Their implementation is frequently suboptimal because of a multitude of factors that include high staff workload and insufficient training and low patient engagement determined by inadequate social support, transportation barriers and financial costs. Technology-based psychological interventions (TBPIs) for CUD, such as those delivered online through computer or mobile apps, could circumvent some of these barriers and have been shown to be moderately effective in reducing the frequency of cannabis use in studies that included individuals without psychosis. However, these studies revealed high attrition rates and low user engagement with the intervention which can seriously impact cannabis use outcomes. Recommendations for the development of app-based behavioral interventions highlight the importance of using a person-based approach that entails conducting qualitative and quantitative research and tailoring the intervention to users’ preferences. App-based psychological interventions for CUD that are theoretically informed and adapted to the treatment needs and lived experiences of individuals with psychosis can facilitate optimal engagement with the intervention by increasing user competence, relatedness, and autonomy. The dissertation comprises four studies outlining the formative research that was conducted to develop iCanChange (iCC), a novel app-based psychological intervention for the treatment of CUD in individuals with psychosis and the ReCap-iCC, a pilot randomized controlled trial (RCT) of iCC in this population. Study 1 consists of a systematic review aimed at evaluating the efficacy of TBPIs for reducing cannabis use in individuals with psychosis and understanding the factors contributing to the design of effective interventions for CUD in this population. For the initial review and its update, we screened in total 20,615 references indexed in six major databases up to July 27, 2023. Results show that research in this field is in its early stages, as only 11 articles corresponding to 7 distinct empirical studies were retained for synthesis. Although none of the studies employed mobile app-based psychological interventions, the review indicates that internet, computer, or virtual-reality-based interventions that include CBT, MI, psychoeducation, or cognitive enhancement therapy can be effective in reducing cannabis use in individuals with psychosis. Importantly, the review highlights the importance of qualitatively exploring patient preferences and incorporating them into interventions to improve cannabis use outcomes. Study 2 describes the methodology and results of a qualitative descriptive study aimed at exploring and understanding patient and clinician perspectives regarding intervention modalities for reducing cannabis use, intervention content and format, and technology related opinions. Ten individuals with FEP and CUD participated in a focus group, and 10 clinicians working in EIS for psychosis participated in semistructured interviews. We employed deductive-inductive thematic analysis to provide an integrative synthesis of patient and clinician opinions. This resulted in a framework of five main factors relevant for the development of TBPIs for CUD. These factors are: attitudes and beliefs related to psychological interventions (e.g., behavioral stage of change), strategies for psychological interventions (e.g., MI, CBT), incentives (e.g., contingency management), general interest in TBPIs (e.g., face-to-face vs. app-based interventions, feedback from clinicians, location for participating), and recommendations for tailoring TBPIs, including intervention intensity, format of the intervention content, app features, and communication methods. The results of this exploratory phase informed the development of iCC, and the questionnaire used in Study 3. In Study 3, 104 individuals with FEP and CUD completed an online survey at six EIS for psychosis in the province of Quebec, one in Alberta, and one in Nova Scotia. The main objectives were to evaluate preferences for intervention intensity, autonomy in completing the intervention, feedback related to cannabis use, and preferences for technology and app features. We used the Case 2 Best-Worst-Scaling (BWS, 27 questions) and the item ranking methods (6 questions) to measure preferences. Multivariable conditional regression analyses of BWS questions revealed: 1) higher patient preferences for a moderate intensity app-based intervention that includes modules with a length of 15 min (vs. 5 minutes, OR=1.19; CI:1.03; 1.37) scheduled once a week (vs. every day, OR=2.06; CI: 1.79; 2.37); 2); the need for autonomy in completing a psychological interventions for CUD reflected by lower preferences for in-person versus TBPIs (OR=0.86; CI: 0.75; 0.98); higher preferences for participating in the intervention outside the clinic (vs. at the clinic, OR=1.24; CI: 1.08; 1.42); higher preferences for receiving assistance for using the app from the clinician one time per week (vs. every session, OR=1.16; CI: 1.01; 1.33); and 3); and higher preferences for receiving feedback related to cannabis consumption from both the app and the clinician (vs. app only, OR=1.74; CI: 1.51; 2.00) and from the clinician once a week (vs. twice a week, OR=1.29; CI: 1.13; 1.48). Luce regression models for rank data revealed higher preferences (i.e., item worth, w) for using smartphones (vs. computer, w=1.65; CI: 1.14; 2.38), for communicating with clinicians via chat (vs. text, w=1.47; CI: 1.03; 2.10), and for having access to a reward point table (vs. the possibility to personalize the application, w=1.67; CI: 1.16; 2.40). We found lower preferences for written text (w=0.57; CI: 0.41; 0.81) or audio (w=0.61; CI: 0.43; 0.86) compared to videos with an animated character. Results of the formative research (Studies 1 to 3) led to the development of iCC and the ongoing ReCap-iCC pilot RCT (Study 4). iCC is a fully automatized app that contains 2 sections and 3 booster modules. The first section comprises 10 core modules that are completed sequentially, with a recommended frequency of a maximum 2 per week, aiming to prepare users for changing their cannabis use behaviors and concluding with choosing a flexible cannabis use goal that can be either reducing or quitting cannabis use. The aim of section 2, which comprises 9 modules that can be completed in the order of the user’s choice, is to teach and reinforce skills that can help them achieve their goal. Finally, the 3 boosters are completed at a frequency of one per month and are designed to support behavioral change. The study protocol provides a detailed description of the activities included in each module and the behavioral change techniques used. Participants are randomly allocated (1:1 ratio) to either the intervention arm consisting of iCC + modified EIS (all EIS services are offered except for concomitant formal psychological interventions for treating CUD) or the control arm consisting of EIS. The study consists of a 12-week active intervention period and a 3-month follow-up period. Assessments are conducted at baseline, 6 weeks, 12 weeks (end of active intervention and main endpoint assessment), and 24 weeks corresponding to the end of follow-up. The main goals involve evaluating the rates of intervention completion and trial retention. Additional aims include conducting an initial evaluation of the impact of iCC on the amount of cannabis consumed, participant satisfaction, and app utilization. Exploratory outcomes such as psychotic symptoms, motivation to change cannabis consumption, and adoption of cannabis harm reduction measures are incorporated to enhance our comprehension of the advantages of implementing iCC in clinical environments. The studies presented in this thesis showcase the multi-phase rigorous and person-based process of developing and initial clinical testing of a mobile app-based psychological intervention for the treatment of CUD in individuals with psychosis. The doctoral research project is timely, considering the rapid expansion of mobile app-based interventions in the field of mental health and the need for effective and innovative solutions that could be added to the toolbox of interventions used for treating CUD in this population.

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