La pureté et la coexistence. Sur « À tout prendre » de Claude Jutra
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Nouvelles vues : revue sur les pratiques et les théories du cinéma au Québec
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Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département d'histoire de l'art et d'études cinématographiques
Université de Montréal. Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques
Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue française
Université de Montréal. Canada Research Chair on Digital Textualities
Université de Montréal. Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques
Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue française
Université de Montréal. Canada Research Chair on Digital Textualities
Mots-clés
- Bazin, André
- Jutra, Claude
- Cinéma
- Proust, Marcel
- À la recherche du temps perdu
- Autofiction
Organisme subventionnaire
Résumé
Résumé
Partant de la pensée hégélienne d’André Bazin sur l’histoire et l’esthétique du cinéma, le présent article souhaite étendre l’élasticité dialectique qui caractérise depuis ses débuts l’ontologie du septième art, en tentant de trouver une alternative entre l’illusion de la pureté et la nécessité de l’impureté. À partir d’une analyse volontairement ouverte du film « À tout prendre » (1963) de Claude Jutra, où le cinéaste québécois sera amené à dialoguer avec d’une part la poétique moderne de l’autofiction, et d’autre part la philosophie romanesque de « À la recherche du temps perdu » de Marcel Proust, il s’agira de définir le cinéma comme le médium de la coexistence.
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