La scientificité de la théologie selon Thomas d’Aquin, Hervé de Nédellec et Durand de Saint‐Pourçain
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Résumé
Résumé
L’enjeu épistémologique du statut de la théologie a été renouvelé à la suite du
Prologue au Commentaire des Sentences de Thomas d’Aquin (v. 1254-
1256), qui démontre que la théologie est une science en vertu de son caractère
hypothético-déductif et qu’elle est strictement subalternée à la science de Dieu dont
elle dépend quant à ses « premiers principes ». Le présent article, partant de la
position thomasienne, explore subséquemment deux théories concernant la
scientificité de la théologie énoncées au début du XIVe
siècle, soit celle d’Hervé de
Nédellec (qui se veut un continuateur de Thomas) et celle de Durand de SaintPourçain (qui réfute le Docteur commun sur cette question). Les positions des trois
auteurs dominicains sont présentées afin de jauger leurs originalités propres.
L’analyse est complétée par une brève exploration des enjeux politico-théologiques
qui découlent des positions contraires d’Hervé et de Durand, au moment où l’ordre
des Dominicains défend la pensée thomasienne et milite pour la canonisation de
l’Aquinate.
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