Le principe fédéral dans la répartition des sièges à la Chambre des communes
Article
Version publiée / Version of Record
Date de publication
Autrices et auteurs
Contributrices et contributeurs
Direction de recherche
Publié dans
Publications du CÉRIUM
Date de la Conférence
Lieu de la Conférence
Éditeur
Université de Montréal. Observatoire des fédérations
Université de Montréal. Centre d'études et de recherches internationales
Université de Montréal. Centre d'études et de recherches internationales
Cycle d'études
Programme
Mots-clés
- Chambre des communes
- Canada
- répartition des sièges
- Loi constitutionnelle de 1867
- Constitution de 1867
- fédération
Organisme subventionnaire
CÉRIUM ; Idée fédérale
Résumé
Au cours des dernières décennies, la répartition des sièges au sein de la Chambre des communes s’est éloignée significativement de l’idéal de la parité du pouvoir électoral des citoyens canadiens, tel que stipulé par la Loi constitutionnelle de 1867. À défaut de compter sur l’appui d’un Sénat qui assume pleinement son rôle de « maison des provinces », est-il souhaitable que la chambre basse surreprésente les régions moins peuplées au Parlement? Alors qu’approche le jour du scrutin fédéral, l’Observatoire des fédérations se penche sur la question délicate de la répartition provinciale des sièges dans la fédération canadienne.
Table des matières
Notes
Éditorial du 30 septembre 2015
Notes
Autre version linguistique
Ensemble de données lié
Licence
Approbation
Évaluation
Complété par
Référencé par
Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Sauf si le document est diffusé sous une licence Creative Commons, il ne peut être utilisé que dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale comme le prévoit la Loi (i.e. à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu). Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.