Faculté de l'aménagement – Travaux et publications
URI permanent de cette collectionhttps://hdl.handle.net/1866/12629
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Item Accès libre Architecture territoire information 4.0 : fin de la route : les Coasters de la Basse-Côte-NordUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d’architecture, 2024)Item Accès libre Architecture, territoire, information 4.0 : le lac Saint-Jean et la rivière Saguenay : la « valley section » à l’heure des technologies de l’information et des enjeux environnementauxUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d’architecture, 2023)La présente publication recueille les enquêtes conduites par les étudiants dans l’atelier et le séminaire de recherche du trimestre d’hiver 2023 à l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Les étudiants, dirigés par l’équipe d’enseignants composée de Gabriel Payant, Alessandra Ponte et Alessia Zarzani, ont été confrontés à la proposition suivante : « Dans cette troisième itération d’Architecture/Territoire/Information 4.0, nous proposons d’explorer la région hydrographique de la rivière Saguenay et du lac Saint-Jean. La rivière Saguenay prend sa source dans le lac Saint-Jean, à Alma. Immédiatement séparé en deux bras, la Petite et la Grande Décharge, le Saguenay, après un parcours d’environ 155 kilomètres, atteint le fleuve Saint-Laurent. Son important bassin hydrographique draine une vaste portion de la province et ses eaux tumultueuses, marquées par des rapides et des chutes, ont été apprivoisées pour fournir une importante source d’énergie hydroélectrique. Le premier de ces systèmes de barrages et de centrales est situé sur l’île formée par la Petite et la Grande Décharge. Les deux branches se rejoignent à la Pointe des Américains, là où la propre rivière Saguenay commence réellement sous la forme d’un vaste réservoir. La rivière se sépare à nouveau à Shipshaw, où se trouvent deux autres barrages : la centrale de Shipshaw du côté nord et la centrale de Chute-à-Caron du côté sud. Les déversoirs des deux barrages se rejoignent entre Chicoutimi et Jonquière, où le Saguenay devient navigable. En montagnais, Chicoutimi signifie « jusqu’où c’est profond ».Item Accès libre Le design dans la démocratie : actes du 3e colloque Intersections du design : Montréal, le 9 et 10 mai 2022Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École de design; Université Laval. École de design (Groupe Design et société, 2023)Item Accès libre Les mots du design urbain : un dictionnaire collaboratifUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'urbanisme et d'architecture de paysage (Université de Montréal. École d'urbanisme et d'architecture de paysage, 2023)Item Accès libre Ville refuge : les espaces, les sujets et les vécus de la ville refuge : hiver 2023Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d'architecture, 2023)Item Accès libre Engrais urbain : agencer l’espace quotidien dans la nouvelle urbanitéUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d'architecture, 2022)L’atelier a été organisé en partenariat avec les 2 autres écoles d’architecture québécoises (de l’Université McGill et de l’Université Laval) grâce au soutien de l’agence NEUF architect(e)s. Pour marquer son cinquantième anniversaire, l’agence montréalaise souhaitait inviter les étudiants à explorer les défis du développement des villes de demain. Chaque groupe devait réfléchir à l’avenir de la petite ville de Knivsta en Suède qui a connu récemment une forte croissance démographique à travers une approche distincte selon le professeur responsable. Les échanges d’idées entre étudiants et professeurs des trois universités se sont révélés très enrichissants et stimulants et ont formé un contexte favorable au développement des projets présentés aux pages suivantes.Item Accès libre Ville refuge : les espaces, les sujets et les vécus de la ville refugeUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d’architecture , 2022)Item Accès libre Architecture, territoire, information 4.0 : les Îles-de-la-Madeleine : l’architecture face aux urgences planétairesUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d’architecture , 2022)Item Accès libre Enfants montréalais et mobilité : comprendre leur point de vue à travers leurs représentations de la villeO’Brien, Louis; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'urbanisme et d'architecture de paysage (Université de Montréal. École d’urbanisme et d’architecture de paysage, 2022-05)Item Accès libre Modern public spaces in Canada : a revaluationValois, Nicole; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'urbanisme et d'architecture de paysage (Routledge, 2021-03-10)Modern post-war built heritage, such as public spaces, gardens and campuses, is hardly considered worthy of conservation in Canada. Yet the history of built form and the projects of this era deserve attention because they reflect a period of profound change. This article focuses on post-war landscape architecture projects in Canada, especially those with surviving traces, to acknowledge them and, hopefully, help prevent their demolition. Two specific cases are used to shed light on the characteristics and the historical and architectural value of modern landscape architecture in the 1960s and 1970s: the University of Victoria campus and the rooftop garden at Hotel Bonaventure Montréal. At a time of growing awareness of the heritage of public spaces, this article seeks to contribute to the knowledge and understanding of projects created during this period, to help establish an idea of Canadian modern landscape architecture and underscore its value.Item Accès libre Using technology to encourage the participation of persons with disabilities : exploring cultural leisure activities in a theatre environmentHammouni, Zakia; Wittich, Walter; Kehayia, Eva; Verduyckt, Ingrid; Martiniello, Natalie; Hervieux, Emilie; Poldma, Tiiu; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École de design; Université de Montréal. Faculté de médecine. École d'orthophonie et d'audiologie; Université de Montréal. École d'optométrie (Springer, 2020-08-06)Inclusive ‘relaxed performances’ are leisure activities where people can participate, within a theatre environment, often with the use of assistive technologies, adapted texts and scripts that support interaction and social inclusion. This paper presents a participatory collaborative research project that examines the challenges faced by people living with disability when accessing theatre performances, and how design, technology and adaptations can facilitate participation and promote empowerment. Embracing a participatory approach with attention given to persons with visual impairments, people with mobility impairments persons with language and communication limitations and those on the autism spectrum, data was collected in 4 phases, from the pre-performance to the presentation of the performance. Post-performance analysis used interpretive approaches and evaluation analysis. Results include the development of potential strategies for the inclusion of people from all perspectives in performances. These strategies include the use of audio description which provides visual information about gestures, props and the layout of the stage.Item Accès libre Architecture, territoire, information 4.0 : Abitibi-Témiscamingue : trois écologiesUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d'architecture, 2021)Item Accès libre L’école et le quartier dans la planification urbaine : un document à l’intention des collectivités québécoisesTorres, Juan; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'urbanisme et d'architecture de paysage (Université de Montréal. Faculté de l'aménagement, 2021)Item Accès libre Le dispositif Optique : matérialité : expérimentation et perceptionAsselin, Manon; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (2021-02)Premier exercice de l’atelier d’architecture 4 (ARC2012), hiver 2021, École d’architecture, Faculté de l’aménagement, Université de Montréal.Item Accès libre Vivre à Montréal au 21e siècle : perspectives de jeunes montréalaisUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'urbanisme et d'architecture de paysage (2017)Item Accès libre Grandir avec la ville : une étude longitudinale sur le quotidien des enfants de MontréalUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'urbanisme et d'architecture de paysage (2020)Le projet « Grandir avec la ville » a pour but de mettre en évidence les points de vue des enfants à l’égard de leur ville, ainsi que les changements que ces enfants expérimentent au fil du temps dans leurs manières de voir leur milieu de vie et de s’engager dans leur communauté. Soutenue par la Fondation du Grand Montréal et par une équipe interdisciplinaire de chercheurs de l’Université Concordia et de l’Université de Montréal, ce projet a été entamé à l’automne 2018, rejoignant 119 enfants âgés de 8 à 13 ans dans différents quartiers de la métropole. Les activités réalisées avec ces jeunes incluent la production de dessins, les discussions de groupe et la passation d’un questionnaire. Ces activités ont permis de recueillir des données très riches et complémentaires. Le présent rapport rend compte de cette première étape de la démarche, ainsi que de quelques résultats, issus d’une analyse préliminaire des données. On y observe notamment l’importance que les enfants accordent à différents lieux à l’extérieur de leur logement, ainsi qu’au jeu, à la détérioration environnementale et à l’inégalité sociale. Cette première analyse montre également que, pour les enfants, la communauté a encore du chemin à faire en matière d’écoute, d’inclusion et de respect à leur égard.Le projet se poursuivra dans les prochains mois avec un processus dans lequel plusieurs jeunes ayant participé à la première étape pourront contribuer à l’analyse plus détaillée de l’information, en fonction des sujets qui s’avéreront les plus significatifs dans leur perspective. La table sera ainsi mise pour entamer, en 2022, la dernière phase du projet, pendant laquelle nous recontacterons l’ensemble des jeunes pour recueillir à nouveau leurs avis. En comparant alors les points de vue des jeunes à environ 5 années d’intervalle, nous pourrons mieux comprendre les changements que les jeunes expérimentent pendant cette période déterminante de leur vie, reliés à leur manière de profiter de leur ville et de s’engager dans leur communauté.Item Accès libre Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec David Hales par Christina CameronHales, David; Cameron, Christina; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement; Université de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâti; Université de Montréal. Canada research chair on built heritage (2019-09)David Hales est un environnementaliste américain. Actuellement, il est un directeur du Parlement mondial des religions, au sein duquel il préside le groupe de travail sur l’action climatique. Il fait également partie du comité directeur du REN21 (Renewable Energy Policy Network for the 21st Century), réseau qui fait la promotion des énergies renouvelables dans le monde. Durant sa carrière, il a occupé de nombreux postes faisant la promotion de la durabilité aux niveaux national et international. Il a été président du College of the Atlantic, premier établissement d’enseignement supérieur à devenir carboneutre aux États-Unis. De 2012 à 2014, il a dirigé l’organisation Second Nature, qui œuvre à stimuler l’action climatique dans l’éducation supérieure. Il a également dirigé des programmes de politique environnementale et développement durable à l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), et servi en tant que Sous-secrétaire adjoint au Département de l'Intérieur des États-Unis, avec des responsabilités pour le National Park Service, le Fish and Wildlife Service et le Heritage Conservation and Recreation Service. Au cours des années 80, il a été directeur du Département des ressources naturelles du Michigan et a enseigné à l'Université du Michigan. Hales a présidé la seconde réunion du Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO en 1978 à Washington D.C., et a chapeauté l’inscription des tout premiers sites sur la Liste du patrimoine mondial. Il a été à la tête de la délégation américaine au Comité de 1977 à 1980. Par la suite, il a représenté les États-Unis dans de nombreuses négociations intergouvernementales, notamment au sommet de Rio en 1992, à Habitat II en 1996, et à la conférence Rio+5 en 1997, ainsi que lors de réunions de plusieurs organes des Nations Unies (Assemblée générale, Conseil économique et social (ECOSOC), etc.). Les extraits audio suivants sont issus d’une entrevue menée avec David Hales par Christina Cameron en septembre 2019 à Bar Harbor. Il y relate les premières années de la Convention du patrimoine mondial : la mise en place des procédures, la vision des pionniers quant au lien entre culture et nature, l’adoption du logo, et les discussions autour de l’inscription de certains sites sensibles tels qu’Auschwitz et l’Independence Hall.Item Accès libre Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Minja Yang par Christina CameronYang, Minja; Cameron, Christina; Université de Montréal. Faculté de l'aménagement; Université de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâti; Université de Montréal. Canada research chair on built heritage (2019-12)Minja Yang est née et a grandi à Tokyo. Elle est diplômée du baccalauréat en sociologie de l’Université de Georgetown et détient une maîtrise et un doctorat en politique de l’École des études orientales et africaines de l’Université de Londres. Elle a rejoint le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés en 1979, où elle a travaillé pour la protection des réfugiés d’Indochine et d’Afrique de l’Est. En 1989, elle entame sa carrière à l’UNESCO et œuvre à la protection et au développement de la région d’Angkor, au Cambodge, pendant près de cinq ans. Elle entre par la suite au Centre du patrimoine mondial en 1994 en tant que chef de l’unité Asie-Pacifique. Durant cette période, elle est également responsable de l’unité Documentation et Information, ainsi que du programme spécial pour les villes du patrimoine mondial, créé à son initiative. En 1999, elle devient Directrice adjointe du Centre, poste qu’elle occupera jusqu’en 2004. De 2005 à 2009, elle dirige le bureau de l’UNESCO à New Delhi. Tout au long de sa carrière, elle s’est dédiée au renforcement des capacités locales pour la gestion des ressources culturelles et l’encadrement du développement urbain dans une approche sensible au patrimoine. Depuis 2010, Minja Yang est présidente et professeure au Raymond Lemaire International Centre for Conservation (RLICC) de l’Université catholique de Louvain, en Belgique. Elle agit également à titre de consultante auprès de plusieurs organismes, dont l’Association des biens français du patrimoine mondial et l’Association des Centres culturels de rencontre. Elle siège par ailleurs sur le comité consultatif du Journal of Heritage Management. Parmi ses récentes publications, on peut lire « Culture in Moving the MDGs to the Post-2015 Development Agenda: Some Reflections on the Role of Living Heritage for Sustainable Development », paru en 2015 dans l’ouvrage Perceptions of Sustainability in Heritage Studies dirigé par Marie-Theres Albert. Les extraits audio suivants sont issus d’une entrevue menée avec Minja Yang par Christina Cameron en décembre 2019 à Paris. Elle y relate sa vaste expérience de la Convention du patrimoine mondial, et témoigne des défis de son opérationnalisation sur le terrain, particulièrement en milieu urbain. Elle appelle à davantage d’efforts vis-à-vis de la conservation et de l’interprétation des sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial, et suggère à cet égard d’établir davantage de partenariats avec les universités.Item Accès libre Architecture et information 2.0_2020Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d'architecture, 2020)Dans cette troisième itération de l’enquête sur le thème « Architecture et Information 2.0»,nous avons proposé aux étudiants d’étudier les implications spatiales et sociales du déploiement de l’intelligence artificielle dans cinq domaines : éducation, santé, fabrication, mobilité et logistique, relations interpersonnelles et interaction homme-machine. Encore une fois, l’accent est mis sur Montréal et la province de Québec et l’étude se déroule à trois échelles : territoriale, urbaine et architecturale.Item Accès libre Architecture et information 2.0 //2018Université de Montréal. Faculté de l'aménagement. École d'architecture (Université de Montréal. École d'architecture, 2018)"Dans cette deuxième itération de l'enquête sur le thème "architecture et information 2.0", l'équipe de recherche se concentrera encore une fois sur l'exemple de la province du Québec et la région de Montréal en particulier. La pertinence du choix du sujet et du site a déjà été démontrée par les recheches menées l'année dernière (lesquelles constituent une base solide pour étendre l'exploration). Ces études ont d'ailleurs confirmé notre hypothèse initiale : Montréal et la province du Québec présentent les conditions idéales pour attirer les investisseurs dans les nouvelles technologies et même parmi les géants des entreprises Internet."--Page 4 de la couverture.